Category: Arts News

Congo Jazz Bande!!!

Congo Jazz Bande!!!

Congo Jazz Band, pour écrire, dire et jouer les vérités qui font mal

— par Janine Bailly —

« Aucune des nations colonialistes n’avait une approche humaine ». Que dire alors lorsqu’un homme seul se déclare indûment propriétaire de ce vaste territoire qu’est le Congo ? Qu’il se donne sur les millions d’hommes qui le peuplent droit de vie et de mort ? Mohamed Kacimi et Hassan Kassi Kouyaté ont choisi ce pays d’Afrique, devenu la RDC, République Démocratique du Congo, pour nous parler du sort qui fut celui de tout un continent, lors que se le disputaient les “grandes” puissances européennes ; mais pourquoi le Congo plus spécialement ? Parce qu’il « cristallise toute la barbarie coloniale », esclavage, exploitation, travail forcé, dépouillement des richesses et des identités, négation même du statut d’être humain… que la conquête blanche y fut mythifiée en « mission de bienfaisance ».

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Short List for the Siminovitch Prize for Playwriting

Short List for the Siminovitch Prize for Playwriting

SIMINOVITCH PRIZE FOUNDATION AND NATIONAL ARTS CENTRE ANNOUNCE THE SHORTLIST FOR THE 20th ANNIVERSARY SIMINOVITCH PRIZE IN PLAYWRITING

Shortlisted artists celebrated and laureate announced in first-ever virtual ceremony

October 15, 2020 – OTTAWA (Canada) The Siminovitch Prize Foundation and the National Arts Centre today announced the shortlist for this year’s Siminovitch Prize, the most prestigious theatre award in Canada. The jury has selected five outstanding playwrights as finalists for the esteemed theatre prize, now celebrating its 20th year of honouring excellence and innovation in Canadian theatre.

The Siminovitch Prize Foundation and the NAC are proud to introduce this year’s shortlist: Carmen Aguirre (Vancouver), Tara Beagan (Mohkintsis/Calgary), Martin Bellemare (Montreal), Karen Hines (Calgary/Toronto), and Annick Lefebvre (Montreal).

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For Youth, Theatre is Action.

For Youth, Theatre is Action.

Over the past two years, I have had the privilege of inviting  a group of teenagers in Canada, ages 13-17, to consider theatre as a possible means of fighting for climate action. These ten youth, Natasha Knight, Anna Carsley-Jones, Sebastien Cimpaye, Sophie Dean, Quinn Lesaux, Jaya Matiation, Olivia Smith, Ethan Whidden, Kaatje Yates, and Paige Young, are all driven by their love for the planet – and are deeply concerned  about a future they feel they have inherited. As Sophie says, “We’re a group of teens with a goal and the passion to achieve it. We’re not all the same; we have different backgrounds and ambitions, but we’re united in our goal for climate action through theatre.” Quinn adds, “I would describe us as a group of teenagers who have a strong opinion on climate change; we’re trying to get our voice out there for older and younger audiences and trying to inform them how they can use their voice to control this problem.”

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Avignon 2020 annonce sa programmation: l’histoire des théâtres repensée dans le cadre de nouveaux partenariats.

Avignon 2020 annonce sa programmation: l’histoire des théâtres repensée dans le cadre de nouveaux partenariats.

Journées de l’IRET en Avignon

Evénement bisannuel depuis 2015 rassemblant chercheurs de l’IRET, doctorants et membres associés autour de spectacles choisis au sein du festival officiel et analysés en séminaire, journées d’étude et rencontres artistiques publiques, en partenariat avec le service des relations publiques du festival et le Centre national des écritures dramatiques de Villeneuve-lès-Avignon. Un temps fort pour la cohésion et l’identité disciplinaire de l’Unité.

Études théâtrales et études visuelles.

Peu, voire pas représentée frontalement sur le plan national, la problématique recoupe en revanche plusieurs axes structurants de notre équipe (Poétique du drame moderne et contemporain/ Théorie et histoire du théâtre/ Recherches sur les revues de théâtre/ Scènes et altérité). Le nouveau contrat quinquennal sera donc l’occasion d’aborder transversalement la question du regard théâtral, la manière dont il est informé par d’autres pratiques modernes ou contemporaines, et la manière dont, en retour, il participe de l’évolution des autres pratiques artistiques, et, au-delà, de certaines pratiques sociales, politiques, voire technologiques. La question du «regard immergé », objet d’un colloque prévu pour 2018, permettra de faire le lien entre le précédent contrat et le nouveau contrat.

 Partenariats : Théâtre de l’Odéon, Maison Heine, Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre, CEREG (EA 4223), « Passages XX-XXI » (Lyon 2).

Esthétiques Jazz : la scène et les images.   Fenêtre ouverte sur la recherche en arts du spectacle et résolument transdisciplinaires, ces rencontres internationales réunissent des chercheurs et des artistes de tous horizons qui abordent le jazz comme une esthétique et une philosophie. Elles sont organisées autour de conférences, de communications scientifiques, de projections, de performances artistiques et de tables rondes.  Pour suivre les éditions passées : Esthetiquesjazz.tumblr.com

Le Corps nu – la nudité dans les arts de la scène.

L’objectif de ce programme est de s’interroger sur la nudité des corps sur scène, en ne limitant pas la réflexion à la période contemporaine, mais en l’ouvrant aux pratiques scéniques antérieures, et en la menant tant du point de vue du spectacle que de son matériau textuel éventuel. Les études seront donc spectaculaires et/ou dramaturgiques, contemporaines et/ou historiques. Elles pourront ainsi engager tous les chercheurs de l’IRET, ainsi que d’autres chercheurs venant d’institutions et disciplines complémentaire. Il s’agira notamment d’étudier la façon dont la nudité – même sur la scène contemporaine – est une construction scénique(maquillage, tatouage, éléments de «costume», espace, lumières, gestuelle…), différente selon les époques et les genres spectaculaires, et aussi de mettre cette perception scénique en perspective avec le contexte socio-culturel du spectacle, c’est-à-dire avec la perception du « nu » dans le monde extra-théâtral, l’articulation ou la confrontation de ces deux regards pouvant poser des questions politiques et anthropologiques sur les enjeux de la représentation. Le programme procède par séminaire et journées d’étude ou colloque ; dispositif qui permet d’examiner l’ambiguïté sémiotique de l’ « expeausition » entre érotisme et sensualité, pornographie et violence, nudité et altérité. Un premier colloque international est organisé à Coimbra au Portugal les 20,21 et 22 juin 2018 en partenariat avec l’Université de Lisbonne et l’Université de Coimbra : « Le corps nu dans les arts de la scène : perspectives transhistoriques et critiques ».

lecorvin.net. Dictionnaire numérique et encyclopédique du théâtre. Coordination : Alexandra Moreira Da Silva et Pierre Letessier

L’enjeu premier est, selon le souhait de Michel Corvin lui-même, de donner une version numérique au Dictionnaire encyclopédique du théâtre à travers le monde, coordonné par Michel Corvin quand il était professeur à l’Institut d’Etudes Théâtrales, et publié aux éditions Bordas en 1991 puis réédité en 2008. Au-delà de cette entreprise continuée, il s’agira d’ affirmer à travers celle-ci l’engagement historique des chercheurs de l’IRET, de l’Institut d’Etudes Théâtrales et de la Théâtrothèque Gaston Baty dans la construction disciplinaire des études théâtrales. Il conviendra aussi de penser la spécificité du support numérique pour permettre la mise à jour et le développement d’un dictionnaire en ligne. En s’inspirant du modèle des encyclopédies généralistes aujourd’hui en ligne (Universalis, Britannica), le principe des entrées multiples permettra, à partir de l’article de base consulté, d’accéder à des articles et bibliographies complémentaires (articles spécialisés, bibliographies étendues, renvoi aux thèses récentes,…). L’objectif encyclopédique du dictionnaire est de fournir une information historique et esthétique sur le théâtre aussi significative que possible sur les praticiens du théâtre (acteurs, auteurs, metteurs en scènes, dramaturges…) mais aussi sur des domaines plus larges : architecture, scénographie, costume, techniques scéniques, législation, institutions, aires culturelles, genres et formes, concepts d’esthétique, vocabulaire et langage dramatiques… et de fournir cette information à tous les lecteurs susceptibles d’être intéressés (amateurs cultivés, professeurs des écoles, collèges et lycée, étudiants, professionnels du théâtre, chercheurs). L’objectif de ce dictionnaire numérique sera donc triple:/ Développer un travail collectif de recherches sur les entrées du dictionnaire jugées les plus problématiques ou les moins fournies/ Assurer une valorisation du savoir scientifique, en permettant une large diffusion des travaux scientifiques/ Permettre la démocratisation du savoir, en mettant en accès libre un savoir validé par des spécialistes.

Autour d’un comité de pilotage constitué de membres de l’IRET et coordinateur du travail scientifique, l’entreprise impliquera un partenariat multiple : l’IET et la Théâtrothèque Gaston Baty, les éditions les Solitaires intempestifs, détenteurs des droits du dictionnaire imprimé (qu’ils cèderont gracieusement aux partenaires du projet), l’Ecole régionale d’acteurs de Cannes (ERAC), dépositaire d’un fonds d’archives Michel Corvin, sans oublier la sollicitation en cours de la BNF et de l’Education nationale. L’IRET entend doter ce projet de moyens à la hauteur de ses ambitions et de ses enjeux en déposant en 2018 un projet de programme ANR (corpus et bases de données).

Topologiques – Lieux et mémoire du spectacle vivant

Coordination : Catherine Treilhou-Balaudé, Aurélie Mouton-Rezzouk et Céline Hersant

La question du lieu et de l’espace théâtral a toujours été présente dans les problématiques de l’IRET, comme en témoigne le partenariat de l’IRET avec le Groupe de Recherche en scénographie (GRES), implanté à Louvain (UCL) et regroupant un ensemble d’universités et d’écoles supérieures d’art (ESA) en Belgique. La scénographie y est appréhendée non plus comme la mise en œuvre mimétique du drame mais comme le lieu d’une poétique autonome.

Le programme Topologiques entend donner à ces questions une ampleur et une inflexion nouvelles. Il s’agit de considérer les lieux où l’on joue et ceux où se joue et où se prolonge le spectacle vivant, dans la diversité de ses formes et de ses genres : espaces et temporalités, en amont et en aval, aux marges, en deçà et au delà, de la scène proprement dite. L’enquête englobe donc l’événement spectaculaire (ce qui a lieu) au delà de l’événement scénique. Sont donc inscrits dans le champ de cette enquête les institutions (lieux de programmation, espaces et acteurs de la création), les espaces (territoires, emplacements, appréhendés par l’architecture et la scénographie) ; les publics (dans leurs interactions avec l’action culturelle), les lieux de communication, de discours et de transmission du spectacle vivant (de l’école à la presse, les blogs,…) ; la mémoire enfin (intime, collective ou patrimoniale) et les traces de l’événement spectaculaire et du processus de sa création.

Inauguré en septembre 2017, le séminaire Topologiques vise à mettre à l’épreuve le « lieu » comme concept opératoire dans le champ des Études Théâtrales, ouvert aux champs disciplinaires voisins des arts et des médias (Cinéma et audiovisuel, médiation culturelle et muséologie, sciences de la communication).
Sur la même période, le programme Topologiques entend se déployer sur les axes suivants :

Une étude de cas privilégié : La Péniche Opéra. A l’initiative de C. Treilhou-Balaudé, l’IRET est membre d’un programme de recherche en partenariat avec l’IReMUS (U Paris4) et le CRIHAM (PRES Poitiers-Limoges). Lieu de croisement, depuis 1998, de pratiques artistiques et de formes multiples du spectacle vivant (musique et son, opéra, théâtre, arts circassiens), la Péniche Opéra sollicite des compétences pluridisciplinaires : musicologie et études théâtrales, sciences politiques, sociologie, économie de la culture. Il s’agira d’évaluer le rôle des politiques culturelles, d’analyser les modèles esthétiques mis en en œuvre (en création comme en reprise du répertoire dramatique et lyrique), et d’analyser en perspective socio-économique les modes de production et de réception expérimentés par la Péniche Opéra au fil de son histoire. Journées d’étude, encadrement de travaux (master et doctorat), séminaires permettront la publication d’un ou deux volumes de synthèse (échéance : 2020) : « La Opéra : un acteur privilégié de la politique culturelle des années 1980 » et « La Péniche Opéra : une institution au service de la création et des restitutions ». À l’occasion du quarantième anniversaire de la Péniche Opéra (2022) sont prévus un colloque et une exposition.

Scène, musée, bibliothèque : Ces lieux où l’on pense. Recherche en collaboration avec le CERLIS (UMR 8070, U P3- UP5), LLA CREATIS (U Toulouse), l’équipe Culture et Communication (UMR 8562, U Avignon). Un cycle de journées d’étude et de colloques, ouvert en mai 2017, permettra sur quatre ans d’examiner la façon dont des lieux spécifiques – la scène, l’espace muséal et la bibliothèque— génèrent et modèlent de la pensée. Il s’agit de mettre à l’épreuve une hypothèse : que ces « lieux » (espaces circonscrits dans un territoire/ architecture/ dispositif – scénographique, expographique, classificatoire –/ systèmes institutionnels et professionnels définis par des missions et des valeurs spécifiques/ œuvres et objets présentés) déterminent des modes d’exercice de la pensée qui leur sont propres, tant du côté de ceux qui y « œuvrent » (expositeurs /concepteurs / artistes / programmateurs…) que du côté des publics (visiteurs/ spectateurs/ usagers) ; qu’ils peuvent, conjointement, être conçus et interprétés comme des espaces de pratique de la pensée —fût-elle simplement une potentialité, qui s’actualiserait de façon fugace, sommaire –, voire de l’exercice philosophique, en son sens le plus ouvert de pratique d’une pensée contemplative, réflexive ou critique. Le programme aboutira à publication d’un ouvrage collectif (fin 2020).

Territoire et lieux du spectacle vivant, en partenariat avec Gilles Demonet, (UMR IReMuS) et Edith Fagnoni, de l’ENEC (Espace Nature et Culture, UMR 8185- U. Paris-Sorbonne). Calendrier : 2019-2022. Il s’agira en l’occurrence de croiser les approches pour établir une typologie française (extensible à l’international) des salles de spectacle vivant en fonction de leur emplacement, de leur architecture, de leur programmation et de leur positionnement artistique, afin de mettre en évidence leurs caractéristiques géo- et socio-politiques. Un objectif majeur de ce programme nécessairement pluridisciplinaire serait de fournir aux décideurs politiques, notamment sous la forme d’une base de données, un modèle d’analyse pour l’implantation de nouveau lieux de spectacle vivant en fonction des territoires, de leur identité sociologique et culturelle et de leur économie. La première année du séminaire sera consacrée au tournant territorial de la culture.

L’ensemble de ces axes est envisagé en collaboration avec des institutions culturelles et lieux de conservations, sur la base de partenariats existants ou en cours d’élaboration : Département des arts du spectacle et de la musique de la BNF, Bibliothèque historique de la Ville de Paris, Association de la Régie théâtrale, Centre national du costume de scène. La collaboration avec le musée Cadagne et l’Institut international de la Marionnette permet d’envisager dans la seconde partie du contrat quinquennal la mise en œuvre d’un projet Lignes de partage – Contours des arts de la marionnette dont les recherches porteront sur la genèse, mutations et fonctions du lexique et des concepts qui permettent de décrire, circonscrire et penser les arts marionnettiques, en articulation avec le processus de labellisation en cours. L’étude portera simultanément sur les corpus, les collections, les lieux et les pratiques professionnelles de l’art marionnettique.

Théâtre et photographie

Programme IUF (A. Rykner) : Théâtre et photographie en France et dans le contexte européen. Echanges, frictions, transferts et dispositifs intermédiaux (XIXe-XXe siècles). Centré sur la question du «
photographique » au théâtre (photographie de théâtre, mais aussi relations entre dramaturgie, mise en scène et photographie), ce programme prendra notamment appui sur la riche collection photographique de la Théâtrothèque Gaston Baty, et sur celle des grandes institutions parisiennes. Il se propose d’interroger les liens entre théâtre et photographie, dans une perspective théorique forte, tout en s’appuyant sur des analyses d’œuvres et de documents iconographiques parfois mal connus ; il portera principalement sur un corpus français du XIXe et du début du XXe siècles, en tenant compte du contexte des échanges européens de l’époque, mais aussi du fort lien existant entre cette période et la période contemporaine (à travers leur rapport au corps et à l’image). Le va et vient, le dialogue, voire les transferts entre les deux formes d’art et de media seront considérés à partir d’une interrogation d’une par sur la pratique du portrait photographique d’acteur, d’autre part sur la manière dont écriture dramatique et écriture scénique mettent en jeu des modèles et un imaginaire qu’on aurait pu croire purement photographiques (le travail de Meyerhold comme celui de Brecht voire celui d’Artaud, notamment, ont ainsi déjà pu être abordés sous un tel
angle, dans une première préfiguration de ce programme). Outre la réalisation de deux ouvrages, dont un en nom propre et un collectif, et l’organisation d’au moins un colloque international pendant la durée du contrat, il ambitionne aussi de permettre l’organisation et decontribuer au commissariat scientifique d’une exposition d’œuvres et de documents issus de fonds d’un ou plusieurs grands photographes de théâtre du tournant des XIXe et XXe siècle, ayant pu contribuer notamment à alimenter l’iconographie d’une revue majeure comme Le Théâtre, créée en 1898, et première du genre à reposer intégralement sur des ressources photographiques. Partenariats : BNF, Musée d’Orsay, Bibliothèque historique de la ville de Paris, Musée Goupil (Bordeaux).

Scènes, écrans, médias

PROGRAMME FÉDÉRATEUR DE RECHERCHE Au cours du présent contrat, l’IRET a engagé un processus de réflexion avec les unités de recherche en cinéma (IRCAV) et en communication (IRMECCEN), unités avec lesquelles des partages de problématiques et d’actions scientifiques ont déjà été engagés au sein de l’Ecole doctorale Arts & médias (notamment à l’occasion des Universités de l’Ecole doctorale — 4 éditions depuis 2008 dont tout récemment Valencia, 2016). L’objectif étant de cerner les recherches convergentes et les intérêts partagés par les trois unités, tout en préservant leur autonomie et leur spécificité, une demande de financement d’un Programme fédérateur de recherche Scènes, Écrans, Médias a été déposé auprès de la Commission de la Recherche dans la perspective du prochain contrat. Parmi les actions programmées : la mise en place d’un séminaire commun aux doctorants des trois Unités et l’organisation bisannuelle de journées d’étude sur des thèmes communs mais abordés en complémentarité disciplinaire : les thèmes du « document », de la « starisation du spectacle », et l’épistémologie des études visuelles constituent une première sélection.

En Espagne, le théâtre renaît masqué !! En revanche, Ottawa reste prudent!!

En Espagne, le théâtre renaît masqué !! En revanche, Ottawa reste prudent!!

Je vous écris pour vous informer que, Gatineau tombant en zone rouge, nous avons dû reporter notre événement Le Monde se meurt, vive le Monde! au printemps 2021.
Bien cordialement,    Sylvain Sabatié,  Directeur artistique |Fâcheux Théâtre, Gatineau-Ottawa.  (Correspondance personnelle avec A.Ruprecht)
                                                                          * * * *
 
   En  revanche, le théâtre,  l’opéra, et la Zarzuela en Espagne, ont rouvert leurs portes. A Madrid, gel, désinfectant à l’entrée, prise de températures et les spectateurs sonts priés de garder leurs masques tout le temps de la représentation. De plus, les distances de sécurité font que les spectateurs ont un siège libre à droite et à gauche .
Les couples et les familles peuvent être ensemble mais il y a toujours ce fauteuil de sécurité des deux côtés du groupe.

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En amour les femmes mènent la danse! Lope de Vega à Madrid!!

En amour les femmes mènent la danse! Lope de Vega à Madrid!!

El vergonzoso en palacio (Le timide au palais) de Lope de Vega)

En amour les femmes mènent la danse 

 Mise en scène Natalia Menendez ,   Adaptation de Yolanda Pallin 

Au Teatro de la comedia de Madrid par la Compañía Nacional de Teatro Clásico du 29 septembre au 1er novembre.

 

Comédie palatine de Lope de Vega, auteur prolifique, écrite entre 1611 et 1612 nous présente les aventures d’un jeune homme monté à la cours pour améliorer sa condition. La fille du duc, Madalena, tombe amoureuse de lui. Elle va mener le jeu jusqu’à ce que le jeune homme passe une nuit avec elle. Le lendemain son père qui veut la marier à un noble apprend qu’elle est déjà mariée avec Mireno. Le duc veut le faire tuer mais son père apparait et il découvre son identité, duc banni. Le mariage peut donc se faire.  

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Les Ateliers de l’A’zwel: la rentrée en Martinique

Les Ateliers de l’A’zwel: la rentrée en Martinique

Une nouvelle saison s’annonce
Respirons à pleins poumons,
Gardons confiance en la vie et tournons le dos à la peur
Élevons l’enfant, cette pépite d’amour, au sommet du piédestal de l’espoir
Et éclairons-nous de la lumière de nos anciens…

Pour cette rentrée l’Azwel propose, dans le respect des gestes d’amours… et de barrières, et dans le cadre de ses activités éducatives avec 3 intervenantes : Daniela, Julie, Lucette

Le mardi de 17h à 18H30 : atelier de sensibilisation théâtrale de 10 à 12 ans avec Lucette
Le mercredi 14H à 15H30 : atelier de sensibilisation théâtrale de 7 à 9 ans avec Lucette
Le jeudi de 17H30 à 19H : lancement du « studio téat jénes » : 12 à 18 ans (petite troupe amateur dont l’objectif sera de monter une pièce du répertoire classique et une pièce contemporaine)avec Lucette

2 Nouveautés :

*Un espace pour nos seniors, le mardi de 18H45 à 20H45 qui accueillera également des adultes des 20 ans pour une mixité dynamique et porteuse avec Lucette
*Un espace d’expression pour nos plus jeunes (à partir de 6 ans) le mercredi de 9H à 11h45 :
– un cours d’anglais ludique, récréatif et créatif avec notre professeure britannique Daniella (9h à 10h)
– un atelier philo et pratique de l’attention (selon la méthode SEVE développée par Philippe Lenoir) avec notre intervenante Julie pour aller chercher l’enfant dans une expression globale de sa créativité et de sa capacité à penser et vivre le monde (10h15 à 11h45)

Nos masters continueront avec Lucette pour les adultes une fois par mois avec possibilité d’ouvrir sur une fréquence plus soutenue si cela est souhaité en rejoignant l’espace seniors
Renseignements et inscription à l’Azwel,

0596662581/0696285758/ theatreazwel@gmail.com

Emmanuel Kasarhérou conservateur kanak à la tête du Musée du quai Branly, pour rompre la tradition blanche des directeurs des musées en France.!!!!

Emmanuel Kasarhérou conservateur kanak à la tête du Musée du quai Branly, pour rompre la tradition blanche des directeurs des musées en France.!!!!

Le Monde  28 (ou 27 🙂  mai 2019

Emmanuel Kasarhérou, un conservateur kanak à la tête du Musée du quai Branly

L’ancien directeur du Centre culturel Tjibaou de Nouméa succède à Stéphane Martin, qui était en fonctions à la présidence de l’établissement parisien depuis 1998.

Par Roxana Azimi Publié hier à 18h14, mis à jour à 05h33

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Emmanuel Kasarhérou au Musée du quai Branly, le 10 février. THIBAUT CHAPOTOT

Le processus de succession de Stéphane Martin avait été ouvert en janvier, puis retardé par le confinement. D’après nos informations, le Kanak Emmanuel Kasarhérou devrait être nommé mercredi 27 mai, en conseil des ministres, à la présidence du Musée du quai Branly-Jacques Chirac, où il occupait, depuis 2014, les fonctions de responsable de la coordination scientifique des collections.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Le patron du Quai Branly : « Je souhaite que le musée se colorise, nous sommes trop blancs »

C’est une première : aucun Kanak n’avait jusqu’alors pris la responsabilité d’un grand musée métropolitain. Un symbole fort donc, comme les aime Emmanuel Macron qui, en 2018, fut le premier président de la République à se rendre à Ouvéa, trente ans après l’assaut meurtrier contre les indépendantistes qui retenaient des gendarmes en otage.

Pour panser ce traumatisme, il avait alors planté un cocotier, symbole de vie dans la culture kanak et signe de réconciliation. Cet esprit de concorde, Emmanuel Kasarhérou l’incarne aussi en tant que figure centrale de l’histoire culturelle calédonienne contemporaine. « Il est diplomate tout en ayant de la poigne et de la maîtrise, vante le marchand parisien d’art océanien Anthony Meyer. Il aime trouver des solutions et travailler en équipe. »

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Affaire d’Ouvéa : ce que « Le Monde » révélait sur la prise d’otages et l’assaut en mai 1988

Né en 1960 à Nouméa d’un père kanak et d’une mère métropolitaine, la linguiste spécialiste de la langue houailou Jacqueline de La Fontinelle, le jeune métis se serait bien vu en Indiana Jones du Pacifique. Passionné de préhistoire, formé par le grand archéologue océaniste José Garanger (1926-2006), il a participé à de nombreux chantiers de fouilles.

Questionnement sur la légitimité des collections

En pleine guerre civile, en 1985, à l’âge de 25 ans, il prend la direction du musée de Nouvelle-Calédonie, à Nouméa. Neuf ans plus tard, Emmanuel Kasarhérou est happé par un projet aussi ambitieux que politique : la mise en place du Centre culturel Tjibaou, du nom du fondateur du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), assassiné en 1989. Inauguré en 1998 dans un bâtiment signé par l’architecte Renzo Piano, cet immense centre culturel océanien fut l’un des derniers grands gestes politiques de François Mitterrand, accompagnant l’accord de Nouméa, dix ans après ceux de Matignon. Emmanuel Kasarhérou en prendra la direction en 2006, avant de devenir, cinq ans plus tard, chargé de mission pour l’outre-mer en France.

Lire aussi  Le Centre Tjibaou face à la complexité calédonienne

En 2013, il fait ses premiers pas au Quai Branly en cosignant « Kanak, l’art est une parole », avec Roger Boulay, une exposition à la fois pointue et grand public qui fera date sur l’art kanak. Irréprochable sur le plan esthétique, avec plus de 300 pièces, l’événement coïncide avec les quinze ans de l’accord de Nouméa, marquant la fin de la tutelle française imposée en 1853. Emmanuel Kasarhérou rappelait, à cette occasion, au Monde que les Kanaks avaient été placés dans des réserves dès 1868, « un fait unique dans l’histoire coloniale française, qui a créé une relation particulière avec le territoire ».

Pour autant, l’historien n’est pas « engagé politiquement, du moins publiquement », souligne son ami Roger Boulay. Et l’ancien collaborateur de l’Agence du développement de la culture kanak de préciser : « En Nouvelle-Calédonie, Emmanuel avait la confiance de tout le monde, il consultait toujours les anciens, les représentants des grandes chefferies ou ceux qui ont joué un rôle dans le renouveau de la culture kanak. »

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Le questionnement d’Emmanuel Kasarhérou sur l’histoire et la légitimité des collections sera précieux, alors que s’ouvre le grand chantier de la circulation des œuvres entre le Nord et le Sud, à la suite du rapport Sarr-Savoye (2018) sur la restitution des œuvres volées en Afrique.

« Emmanuel pense qu’il est important de partager le patrimoine de l’humanité sans s’enfermer dans les mots. Il ne raconte pas de fables qui simplifieraient les choses », confie un proche, suggérant qu’il serait en phase avec la politique de Stéphane Martin, nommé conseiller culturel au Japon. Dans l’immédiat, le nouveau président devra procéder au déconfinement progressif du musée, fin juin-début juillet, selon nos informations, et trouver un successeur à Yves Le Fur, l’actuel directeur des collections, qui atteint bientôt l’âge de la retraite.

Roxana Azimi

 

 

“Sal Capone: The Lamentable Tragedy Of…”: Docudrama Musical for Black Lives Matter

“Sal Capone: The Lamentable Tragedy Of…”: Docudrama Musical for Black Lives Matter

“Sal Capone: The Lamentable Tragedy Of…”: Docudrama Musical for Black Lives Matter

The Beginning Of A Most Important Dialogue Initiated By This striking and moving staging of rage!

This docu-drama or docu-fiction, a form of musical theatre that ties together reality and fiction inspired by real-life tragedies, concerns events that took place in Montreal (the death of an unarmed Freddy Villanueva in 2008) and the shooting of unarmed Trayvon Martin in Florida (2013) which set off the “Black Lives Matter” movement in the US. We are immediately drawn back to Shakespeare’s work The Lamentable Tragedy Of Titus Andronicus (1623) whose ending is inspired by Seneca’s Thyestes. The Roman play concerns the horrific torture and death of children due to the rivalry between the twin brothers, Atreus and Thyestes. Atreus, takes vengeance on his brother Thyestes by tricking him into eating his own sons who have been slaughtered and served up on a plate. The unimaginable horror of cannibalism in this situation obviously intrigued Shakespeare who ends his version of Titus Andronicus in a similar way.

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Note from the NAC on new theatre in Ottawa and throughout Canada!

Note from the NAC on new theatre in Ottawa and throughout Canada!

As the performing arts sector continues to face unprecedented challenges due to the COVID-19 pandemic, the National Arts Centre has responded with Grand Acts of Theatre, an initiative to bring Canadian artists and audiences together.

Eleven of Canada’s most innovative theatre companies have been engaged to create and perform large-scale, new works in response to these times, which will be performed outdoors in front of live audiences in various Canadian locations, filmed, and later shared online.

Through Grand Acts of Theatre, the NAC will invest in the creation of ambitious new work by some of the country’s most ingenious artists, reach out to theatre audiences who have been missing the live experience, and deepen engagement with a wider audience by sharing the performances online.

For this new initiative, Jillian Keiley teamed up with Vancouver theatre maker Sherry Yoon, Artistic Director of Boca del Lupo, as the co-curator of Grand Acts of Theatre. Keiley and Yoon have selected companies that will create highly theatrical, large-scale outdoor work that will have great artistic impact and broad community reach.

Grand Acts of Theatre will offer new, large-scale works by fantastically inventive artists to capture the public’s imagination with artistic statements on a grand scale, inspired by these current times. The artists are excited to engage with live audiences again, are ready to practice their craft with safety in mind, and looking forward to going even further, connecting with online audiences through digital technology. We cannot wait to see what these incredible companies will create.”
Jillian Keiley, NAC English Theatre Artistic Director

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