Mòshkamo: “ Finding Wolastoq Voice” reveals the founding cosmogony of the East Coast peoples.
This production from Theatre New Brunswick is based on a text by Natalie Sappier (Sammaqani Cocahq -the Water Spirit), a multi-disciplinary artist whose work unfolds on a frontal stage – a space in the round would have been much preferable – within the double layers of a Malaseet circle where the young woman enters the spiritual world of the Tobique First Nations to tell us her personal journey to recover her identity. …
Let’s be clear from the outset. This performance has absolutely nothing to do with Surrealism, nor is it too long. Rituals go on endlessly and repeat themselves non-stop. Clearly this particular theatre-ritual deals with one of the most disturbing and shameful situations we have ever experienced on our collective territory: the murder of women from First Nations, Métis Nation, Inuit groups. In spite of the hearings, investigations and apparent concerns for these lives, no guilty party has ever been identified or punished. These murders are treated as unsolvable mysteries, and the women themselves are relegated to “accidental” beings who perhaps never even existed! But they do exist, and still exist, as Marie Clements shows us in this powerful encounter between her theatrical conception of their lives, and, director Muriel Miguel’s choreography, along with a list of extremely talented collaborators and the voices of the disappeared who still inhabit the natural world and are still speaking to us through these artists. …
. J’ai eu l’occasion de voir cette production au Théâtre de l’île où je n’avais pas mis les pieds depuis des mois et quel choc de me trouver dans cette merveilleuse salle de réception, sous une belle toiture en verre et des fenêtres ouvertes à toute la verdure qui entoure la maison. On pouvait respirer les pelouses exquises, et observer les castors au bord du Ruisseau de la Brasserie en train de grignoter des troncs d‘arbres en préparant la construction de leurs barrages. Une ambiance unique dans toute la région, dont le public devrait profiter.
Mais revenons au spectacle en question après ce premier choc si agréable! Le théâtre musical est sans aucune doute une des formes spectaculaires que les anglophones identifient le plus à la francophonie canadienne. L’incontournable Notre Dame de Paris, Starmania, Les Belles-soeurs et tant d’autres de grande qualité ont marqué les scènes du Centre national des Arts (Ottawa). Pied de poule, une reprise communautaire de la comédie musicale créée en 1982 par le comédien et metteur en scène Mark Drouin, est une parodie du monde artistique peuplé par tous ceux qui cherchent un avenir au cinéma hollywoodien. Il s’agit d’une adaptation de sa propre pièce intitulée François Perdu, Hollywood PQ et le résultat est une forme de mise en abyme, un spectacle dans un spectacle qui nous entraine loin dans ce monde de jaloux et d’ ambitieux. Les neuf comédiens de cette reprise, se livrent avec une frénésie sans limite aux chants, aux numéros de danse à partir de tous les rythmes possibles, et des moments de jeux dramatiques qui exigent un sens d’auto-dérision et de talent comique exceptionnel. Les costumes et le maquillage correspondent à cet esprit de Kitsch qui dominent l’esthétique de la scène. …
The narrative voices of Irish novelist and playwright Maeve Binchy that emerge in Minding Frankie come through with great intensity and enormous emotion in this stage version of a Canadian premier directed by John P Kelly, now on at the Gladstone theater. I attended a preview which was not yet the official opening of the show but because this was the only possible moment to see the play and as I have always admired Kelly’s work I was not going to miss it. …