Theatre Criticism in the Changing Digital World. Theatre Department, U of Ottawa. OPEN DISCUSSION….all are welcome.

Today theatre criticism faces many challenges: in the era of open internet writing the practice of theatre criticism in Canada and worldwide is rapidly changing. It becomes more experimental, reflecting the style of journalistic blogosphere not mainstream criticism currently published in official newspapers and magazines. Who is a true benefactor of such criticism – is it general public,  theatre companies, individual artists, or writers/bloggers/critics themselves, who often use digital writing to express their personal opinion in public, often not in the forms of professional theatre criticism but as self-promotion? 

TIME AND LOCATION / HEURE ET LIEU

November 20, 2015, 11:30am to 1p.m. ; Room 310 / Le 20 novembre 2015, de 11h30 à 13h, local 310.

Theatre department at the University of Ottawa/Département d’Études théâtrales, U d’Ottawa. .

Participants:

•             Patrick Langston (The Ottawa Citizen)

•             Brianna McFarlane (New Ottawa Critics, an association of emerging theatre journalists)

•             Kat Fournier (Capital Critics Circle)

(This debate will be in English.)

La critique théâtrale dans le monde, bousculée par le numérique , Le public est invité à participer !!

Aujourd’hui, la critique théâtrale fait face à de nombreux défis : à une époque où l’Internet façonne l’écriture, la pratique de la critique théâtrale au Canada et dans le monde évolue rapidement. Devenant plus expérimentale, elle reflète davantage le style de la blogosphère que celui de la critique théâtrale professionnelle publiée dans les journaux et les magazines conventionnels. Qui soutient cette critique, en vérité? Est-ce le grand public, les compagnies théâtrales, les artistes individuels? Ou encore est-ce les rédacteurs/ blogueurs / critiques eux-mêmes, qui utilisent souvent la diffusion Web pour exprimer leurs opinions personnelles en public sans se conformer aux règles de la critique en bonne et due forme, mais plutôt comme forme d’auto-promotion?