Month: March 2014

Les aiguilles et l’opium présenté en français et en anglais au Centre national des Arts pendant la saison théâtrale 2 014 –15

Les aiguilles et l’opium présenté en français et en anglais au Centre national des Arts pendant la saison théâtrale 2 014 –15

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Photo de Brigitte Haentjens. Directrice artistique du théâtre français du CNA

Brigitte Haentjens et Jillian Keiley annoncent la présentation conjointe du spectacle Les aiguilles et l’opium de Robert Lepage pour la saison théâtrale 2014-2015

Ottawa, le 11 mars 2014 – Les directrices artistiques du Théâtre français et de English Theatre, Brigitte Haentjens et Jillian Keiley, ont rencontré la presse ce matin pour annoncer une coprésentation extraordinaire dans le cadre de la prochaine saison théâtrale. En partenariat avec le Festival Magnetic North Theatre (dans le cas des représentations en anglais) elles présenteront l’un des spectacles phares de Robert Lepage : Les aiguilles et l’opium, au printemps 2015.

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Seeds: A taught docudrama deals effectively with a most complex topic

Seeds: A taught docudrama deals effectively with a most complex topic

Liisa Repo-Martell and Eric Peterson, in Seeds. Photo: Guntar Kravis

Liisa Repo-Martell and Eric Peterson, in Seeds.
Photo: Guntar Kravis

In the world of documentary theatre Seeds may reign supreme as one of the most complex topics ever incubated for the stage. The story is one well suited for the headlines-as-dialogue, taunt teaching moments, and characters-as-points of view form of theatrical presentation docudrama uses to construct its world. The little guy – and they don’t get much smaller than the individual farmer – is suddenly and it would appear unjustly targeted by a multi-national corporation because their genetically modified seeds have capriciously settled on his land producing a crop resistant to the weed blasting properties of Round Up herbicide. That’s the simple plot.

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Spamalot : Orpheus Musical Theatre takes on Monty Python.

Spamalot : Orpheus Musical Theatre takes on Monty Python.

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Photo credits: Valleywind Productions/David Pasho.

Hard to tell who was having more fun on opening night of Orpheus’ hilarious production of Monty Python’s Spamalot: the audience or the cast.For sure, each fed off the other as the unabashedly silly musical about King Arthur and the search for the Holy Grail unrolled, in the process skewering everything from the Arthurian legend itself to political correctness and the tradition of the Broadway musical.

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UN : texte, mise en scène et interprétation de Mani Soleymanlou. Une orchestration rafraîchissante de l’indentité du monde.

UN : texte, mise en scène et interprétation de Mani Soleymanlou. Une orchestration rafraîchissante de l’indentité du monde.

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Mani Soleymanlou. Photo Hugo-Sébastien Aubert, La Presse

Pour ce monologue autobiographique,  aucun décor sinon  des rangées de chaises vides, alignées sur  la scène. Le comédien, assis tout seul, s’adresse au public et l’invite à rompre un tabou  sacré  de la représentation actuelle: «Gardez votre mobile allumé! Et parlez quand vous voulez. » Dès le départ, il se met en scène dans le rire et un chaos des plus joyeux, et pourtant le contenu du spectacle reste toujours  sérieux, même empreint d’auto-dérision.  l’acteur/auteur/personnage explique qu’il veut nous montrer sa trajectoire de vie depuis son départ de Téhéran en tant qu’enfant.

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The Bald Soprano: une mise en scène à repenser.

The Bald Soprano: une mise en scène à repenser.

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La cantatrice chauve  (The Bald Soprano – traduite par Donald M. Allen) d’Ionesco, une production du Théâtre de la Licorne, est  présentée par les  étudiants  du Département d’études théâtrales à l’Université d’Ottawa. Le metteur en scène, Martin Glassford, étudiant en 4e année du programme MFA, a voulu tout faire sauf écouter le texte. Le rythme traine, les comédiens font tout et n’importe quoi, et l’orchestration de la parole qui est au coeur du spectacle est négligée.  Le décor de Marcelo Donato fonctionne comme il faut,  les costumes de Vanessa Imeson tiennent le coup, l’éclairage de M. Coderre-Williams est efficace, mais de  manière générale le tout est un peu pénible.

The Bald Soprano continue jusqu’au 8 mars, à la Salle Académique, 133, rue Séraphin Marion à 20h00.